mardi 12 octobre 2010

Metal Slug

Pour introduire ce blog, un jeu auquel tout le monde devrait avoir joué (jouable en émulation, sur arcade, croyez-moi,  vous seriez fauché en moins de deux) : Metal Slug.


Rien que l'écran titre en jette un max ! Et ce n'est que le premier...


Sorti en 1996 sur Neo Geo, le premier Metal Slug s’imposait par son style cartoon, sa réalisation fluide, et ses graphismes incroyables. L’univers de la guerre est fidèlement reproduit dans les backgrounds et les personnages s’y fondent parfaitement. Malgré une taille d’écran relativement petite, le caractère des personnages est très lisible, ajoutant la touche humoristique unique caractéristique à la série.

Remarquez la qualité du background et des chars ennemis... oui et du gros caleçon...

Depuis le premier opus, les graphismes n’ont absolument pas changés, la raison est simple : quand on atteint le sommet, on ne peut pas aller plus haut. Les sprites ne sont pas seulement superbes, ils sont surtout animés à la perfection.

Quand on marche dans le sable, les traces de pas s'affichent sur le sol.

Parlons des véhicules… Ils un nombre incroyable de frames (images d’une animation), comptez pour le Metal Slug pas moins de 2000 images (qui dit mieux ?). Les grosses machines de guerres sont magnifique (ça brille, les soldats les nettoient tous les jours), et tout aussi animés malgré leur taille imposante (tout l’écran souvent). De plus, ces engins super balèzes évoluent durant le combat, après un certain nombre de coups reçus.

Transformation en singe... Pas très sexy mais la qualité du sprite est là.

Pour finir, n’oublions les ennemis de l’armée rebelle, qui bien sûr, ont tous la même tête stupide et leurs animations génialissimement débiles. On pourra de ce fait rencontrer des ennemis sur, hum… sur le trône quoi, d’autres qui font bronzette (avec les animations de morts qui en suivent), etc.
Les morts des ennemis sont nombreuses, mais pas autant que pour les héros. A ce propos, il est bon de savoir (oui, oui c’est utile dans une interro d’histoire par exemple), que dans les versions originales des jeux, le sang est rouge (« normal » vous allez me dire), alors que dans les versions américaines et européennes, le sang est remplacé par un liquide blanchâtre (ce qui ne gêne en rien le plaisir de jeu).

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